Contente ce soir parce qu'elle s'est connectée, voir son nom et là un sourire.

C'est bete comme c'est simple n'empeche.
Mais en meme temps nostalgie de cette année la, celle qui est finie, celle dont on a profité mais peut etre pas assez ?
Enfin il faut passer a la suite avancer toujours meme si on a l'impression de pas avancer comme il faut, de devier du bon chemin, d'aller dans la gadoue.
S'eloigner de leur route a eux tous, ne pas reussir a se reprendre, s'en vouloir de ne pas reussir, s'en vouloir d'etre comme ca.
Vouloir changer ce qui ne se change pas, vouloir changer parce que ca ne va pas, vouloir refaire l'histoire.
Tomber dans la musique, pleurer devant la télé, lire et plonger dans le livre, creer ce monde virtuel, dedaigner cet autre ici ou c'est pire ou les bons mots sont absents, ou le silence s'installent ou il fait mal et ou on ne peut l'empecher.
Revenir parfois pour un mail qui fait sourire et le sourire retombe parce que on repense a ces mauvais mots aux bons toujours coincés.
Au pardon qu'on voudrait dire mais qu'on sent ridicule alors que peut etre pourtant il changerait tout.
Cacher, cacher le vrai, les pleurs enfouis parce que ils sont futils parce que les autres ont les bonnes raisons et pas moi parce que.
Le sourire les couleurs le vrai le faux melangé l'eloignement le changement et parfois une lueur d'optimisme parce que il sourit parce que on ressent le passé mais trop peu parce que il y a des choses qui ne changeront jamais et d'autre qui change.
Les fous rires pourtant a avoir mal au ventre mais des fous rires avec des gens qui manquent parce que les emplois du temps et le boulot. Les fous rires spontanés qui font du bien et qu'on aimerait plus.
Le reve d'un autre monde un peu, le reve des autres plus proches surtout.